Congo-Brazzaville : la Constitution d’une dette odieuse

Que dire alors que toutes les vannes sont ouvertes ? Le Congo voit les portes s’ouvrir sous son nez comme par enchantement. Quand on sait que le Congo a peiné pendant deux ans pour rentrer en programme avec le FMI. Cet accord se révèle être une boîte de Pandore, qui tout en multipliant des opportunités condamne le pays au surendettement. Les reproches formulés à l’encontre du pouvoir de Brazzaville ne sont pas encore aiguillés, mais le Congo bénéficie déjà des facilités et des prêts qui appellent à la responsabilité. Un pays miné par la corruption à en croire ses partenaires (Fond Monétaire International et la Banque Africaine de Développement) et du manque de transparence sur la dette chinoise et avec des traders pétroliers d’après ses conseillers ( Dominique Strauss-Khan et la Banque Lazard ) ne peut rassurer les générations futures. C’est à elles qu’il faudrait cette fois-ci penser, tant le cours ...