Le carnage du commissariat de Chacona

Quand il y a crime, les drapeaux devaient être en berne et les têtes devront tomber. Le décès ou l’assassinat de masse d’une dizaine de Congolais est en train de passer sous silence. Les bébés noirs, furent-ils, le mystère qui entoure leur assassinat ou exécution doit être élucidé. N’allons très vite pas en besogne , il importe de prouver que les déclarations aussi bien du procureur de la République André Oko Ngakala et du ministre de la communication Thierry Lézin Moungalla n’éclairent pas notre opinion. Les attitudes adoptées par les autorités congolaises ne reflètent aucunement un souci de transparence. Les médias ne font pas à leur tour. Les familles éprouvées devaient être connues du corps public ce qui aurait permis d’avoir la version des parents des victimes afin de les recouper avec les déclarations des autorités politiques et judiciaires qui sont montées au créneau jusqu’alors! Qu’à cela ne...